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mercredi 2 mars 2022

Qu’est ce que la mucormycose (zygomycose) ?

Définition :

La mucormycose est un infection rare causé par des organismes qui appartiennent à un groupe de champignons appelés mucormycotina .ces champignons se trouvent généralement dansle sol et dans la matière organique en décomposition comme les feuille, des boit pourri….etc.

Infection :

L’infection est rare, plus fréquente chez les personnes atteintes de systèmes immunitaire affaibli, mais cela peut survenir (rarement) chez les personnes sain.

Les facteurs de risque qui peut développer une mucormycose :

·         Diabète non contrôlé

·         Cancer

·         Greffe d’organe

·         Neutropénie (faible nombre de globules blancs)

·         Traumatisme cutané (coupures, éraflures).

1.       Deux types d’infection (dépendent de la voie d’exposition) :

La forme pulmonaire ou sinusale :

L’exposition  se produit par l’inhalation des spores fongiques de l’environnement. Ces spores peuvent provoquer le développement d’infection dans les poumons, les sinus les yeux le visage et dans rares cas peut se propager au système nerveux centrale.

La forme cutanée :Pénétrer la peau à travers des éraflures, plaies perforantes …etc.

2.       La mucormycose est-elle contagieuse ?

La mucormycose n’est pas contagieuse et ne transmet pas d’une personne à l’autre.

 

Si l’infection n’est pas traitée rapidement, le champignon peut se propager dans tout le corps.

Les symptômes :

Dépendent de l’endroit du corps infecté par le champignon(le mucormycose affect le plus souvent les sinus et les poumons) :

·         Les symptômes d’infection sinusale: la fièvre, les maux de tête et les douleurs des sinus.

·         Les symptômes d’infection pulmonaire: la fièvre  et des symptômes de toux.

·         Les symptômes d’infection cutanée :La fièvre, sensibilité, douleur, chaleur, rougeur excessive ou gonflement autour de plaie. L’infection cutanée peut rassembler à des cloques, des ulcères et les tissus infectés peuvent devenir noirs.

Diagnostique :

Le (la) médecin(e)  diagnostiquer la mucormycose en prélevant un échantillon de tissu et l'envoyer à un laboratoire. Là, l'échantillon sera mettre en culture et examiné sous un microscope.

Traitement :

La mucormycose doit être traitée avec des médicaments antifongiques prescrits par le médecin. Ces médicaments sont administrés par voie orale ou veineuse.  Les tissus infectés et en particulier, les tissus nécrosés (morts) doivent être éliminés par exérèse chirurgicale (Sanjay G.Revankar)https://wwwmsdmanuals.com/fr/accueil/infections-mycosiques/mucormycose.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                          

pH : la puissance de l'activité d’ion H+

 

Qu'est-ce que le pH ?

Le ph est la concentration des ions d’hydrogène libre dans une solution, qui nous ’aidons de montré que la solution est « acides » (comme le jus de citron) ou« basique » (comme eau de javel ou savon).

 Le pH est mesuré sur une échelle allant de 1 (fortement acide) à 14 (fortement basique). Au milieu est 7, où le pH est « neutre » (comme dans l'eau pure).

Dans le terme pH, le H désigne l'élément Hydrogène, plus précisément l'Hydrogène H+, Le plus signifie que cet hydrogène porte une charge positive. Le "p" signifie "puissance", le pH donc est la puissance de l'activité d’ion H+ dans une solution. L'échelle de pH est basée sur l'équilibre entre les ions H+ et les ions d’hydroxyde chargés négativement (OH-) dans une solution.

 


Lorsque le pH est bas (par exemple, pH = 2), cad il y a beaucoup d’ions  H+ dans la solution. Lorsque Le pH est élevé (par exemple, pH = 13) il y a beaucoup d’ions  OH- dans la solution, Au milieu (pH=7), les deux ions s'équilibrent complètement.

 

 Chaque valeur de pH inférieure à 7 est dix fois plus acide que la valeur immédiatement supérieure. Il en va de même pour les valeurs de pH entières supérieures à 7, chacune vaut dix fois plus basique que la valeur en dessous.

Exemples :

Un solution de pH 8 est dix fois plus basique qu’un solution de pH 7

Un solution de pH 3 est 100 fois  plus acide qu’un solution de pH 5 .

 

Comment mesure-t-on le pH ?

Le pH peut être estimé à l'aide d’une bande de papier recouvert de différents produits chimiques (papier tournesol). Ces bandes changent de couleur selon l'acidité ou l’alcalinité de la solution dans laquelle ils sont placés, et les changements de la couleur sont évalués par rapport à un guide pour déterminer la valeur approximative de pH de solution.

L’ovulation : petite conclusion

 


L’ovulation fait partie du cycle menstruel lorsque l’ovaire expulse un œuf mature  ou ovule.

A l’intérieur de l’ovaire se trouve des milliers de follicules, chaque follicule est balle creuse constitue de cellules avec un œuf immature au centre.

Le cycle menstruel typique (de 28 jours) commence le premier jour de saignementmenstruel,Au cours des premiers jours du cycle menstruel quelque follicule commence à se développer en même temps, Ces follicules matures secrètent des hormones ostrogénique dans la circulation sanguine pour préparerl’utérusà la grosses.

Ces follicules arrêtent leur développement et commence a dégénèreexcepte l’un d’entre eux


  •        à 12 jours : le Follicule secret une grande quantité d’œstrogène dans le sang, Lorsque l’œstrogène atteint l’hypothalamus et l’hypophyse dans le cerveau,  la partie antérieure  ou la partie  avant de l’hypophyse libèrent une forte quantité d’hormones lutéinisantes dans le sang.

  •         Environ 14 jours : L’hormone lutéinisanteprovoque une croissance soudaine du follicule etjuste avant l’ovulation, l’œuf  se détache à l’intérieure du follicule qui libère des agents chimiques qui rapprochent l’une des deux trompes de Fallope de lui.

Le follicule se gonfle jusqu’à ce qu’il éclate et expulse l’œuf ainsi de liquide dans la cavité abdominale, En réponseà cela le pelus (petite projection àl’extrémitéde la trompe de Fallope)plisse à travers le site d’ovulation et récupère l’œuf. Des cils microscopique a la surface du pelus maintiennent et transportent l’œuf jusqu’à l’entrée de la trompe de Fallope.

A l’intérieure des parois de la trompe de Fallope les contractions musculaires poussent doucement l’œuf vers l’utérus.

Après l’ovulation l’œuf vie environ 12 à 24 heures,elle doit donc être fécondé par un spermatozoïde de l’hommependant cette période pour que la femme tombe enceint, Si elle n’est pas fécondé l’œuf se dessous  et disparait pendant les menstruations.

CELLULES DU SYSTÈME IMMUNITAIRE

 


Souche myéloïde

 

Les polynucléaires :

 

Les polynucléaires  neutrophiles :sont les plus nombreux dans la circulation sanguine. Ils sont reconnaissables par leur noyau unique polylobé (3 à 5 lobes) violet foncé.

Ce sont essentiellement des cellules phagocytaires qui jouent un rôle majeur dans la défense antimicrobienne et dans l'inflammation aiguë (polynucléose neutrophile dans les infections bactériennes). Ces polynucléaires contiennent dans leur cytoplasme des granulations riches en enzymes.

 

 

Polynucléaires éosinophiles ont un noyau unique bilobé, leurs granulations sont colorées spécifiquement en rouge orangé par l'éosine acide. Ceci est dû au caractère basique des composants des granules spécifiques cytotoxiques et pro-inflammatoires. Ils sont retrouvés principalement dans les tissus et leur rôle est capital dans les défenses antiparasitaires et certaines réactions d’hypersensibilité.

 

Les polynucléaires basophiles ont un noyau unique bilobé peu visible du fait de la superposition de leurs granulations basophiles métachromatiques (colorées en rouge par le bleu de toluidine). Ils élaborent des sécrétions très acides, cytotoxiques, pro-inflammatoires. Leur équivalent tissulaire est représenté par les mastocytes qui sont nombreux dans les muqueuses, et ont un rôle physiologique anti infectieux. Les basophiles et les mastocytes ont aussi un rôle important en pathologie dans les hypersensibilités immédiates.

 

 

Les monocytes ont un cytoplasme parfois granuleux. Ils circulentdans le sang périphérique et/ou adhèrent aux parois vasculaires avant de migrer dans les tissus. Le passage Trans-endothélial des monocytes donne naissance aux macrophages

 

 

 

 

Macrophages  sont présents uniquement dans les tissus. Ces macrophages tissulaires ont été désignés au fil du temps selon de nombreux vocables en fonction de l'organe où ils étaient observés : cellules de Küpfer dans le foie, microglie dans le cerveau, cellules mésangiales dans le rein, ostéoclastes dans l’os... Ce sont des cellules essentiellement phagocytaires captant efficacement des particules ou des macromolécules pour les détruire. Dans certaines conditions liées à l’environnement cellulaire elles peuvent aussi exercer des fonctions de cellules présentatrices d'antigènes.

 

 

Cellules dendritiques (CD) : cellules présentatrices d'antigènes professionnelles, capables d’activer des lymphocytes T naïfs. En fait, il existe deux grande sous types des cellules dendritiques :

 

§  D’origine myéloïde,Les cellules dendritiques myéloïdes, (mDC) CD11c+CD123low, sont considérées comme les cellules présentatrices d’antigène professionnelles, capables d’apprêter et de présenter les antigènes, de secréter de grandes quantités d’interleukine-12 (IL-12). Elles expriment également des molécules de costimulation. Elles disposent de toutes les caractéristiques nécessaires pour l’activation des lymphocytes T CD4+ et CD8+.

 

§  D’originelymphoïde (plasmacytoid dendritic cells ou pDC) Les cellules dendritiques plasmacytoïdes, CD11c-CD123high, doivent leur nom à leurressemblance morphologique avec des plasmocytes. A l’origine, elles étaient appelées «cellules productrices d’interféron (IFN)» du fait de leur capacité à produire de grandes quantités d’IFNαaprès activation.

 

Dans les deux cas, en fonction de leur statut fonctionnel, ces cellules possèdent une capacité importante de capture d’antigène lorsqu’elles sont immatures. A l’inverse, elles ont une activité phagocytaire limitée (elles ne détruisent pas efficacement les antigènes) associée à une activité de présentation des antigènes extrêmement efficace lorsqu’elles sont matures. Elles captent les antigènes en périphérie et les transportent vers les organes lymphoïdes secondaires pour initier les réponses immunitaires.

En fonction de leur localisation anatomique, plusieurs sous-types de cellules dendritiques peuvent être identifiés. Chaque sous-type a des rôles distincts dans le contrôle du type de réponse immunitaire et exprime des récepteurs différents pour la reconnaissance des microorganismes et des antigènes.

 

Par exemple, dans la peau, il existe deux types distincts de cellules dendritiques: les cellules de Langerhans (décrites par Paul Langerhans en 1868)dans l’épiderme et les cellules dendritiques interstitielles dans le derme. La classification des cellules dendritiques peut tenir compte de leur origine, de leur localisation tissulaire, de leur phénotype ou de leurs fonctions. Cela reflète l’hétérogénéité de ces cellules est une des caractéristiques essentielles de la lignée dendritique. Cette hétérogénéité leur permet une adaptation des fonctions au type d’agression et au microenvironnement, indispensable pour le fonctionnement immunitaire et indissociable de leur utilisation enthérapeutique.

 

 

 

Les lymphocytes :

 

Ils existent deux type de lymphocytes, les lymphocytes B et T qui déférent par leur fonction et par les molécules qui sont à leur surface.

 

Les lymphocytes T sont d’origine la moelle osseuse puis ils déplacent vers le thymus pour continuent leur maturation.

Lorsqu’ils sont exposés à un antigène, ils se divisent rapidement pour donner un grand nombre de nouveaux lymphocytes T qui sont sensible à ce type d’antigène.

 

Deux groupes de lymphocytes T :

 

Lymphocyte tueuse ou lymphocyte T cytotoxiquecar ils produisent une substance chimique appelé lymphokine qui est essentielle à la destruction des corps étrangers par les lymphocytes B.

Lymphocytes auxiliaires : aident les cellules tueuse dans leur activités et aussi contribuent dans la maturation des lymphocytes B avec les cellules dendritiques

 

Les lymphocytes Bsont les cellules responsables de l’immunité humorale. Leur différenciation en cellules productrices d’immunoglobuline, les plasmocytes, contribuent à la reconnaissance des pathogènes et des éléments étrangers dans les fluides biologiques et donc à la défense du corps humain.

 

 

Les lymphocytes NK ou cellules « Natural killer » sont classées dans les cellules de l'immunité innée. Elles reconnaissent des cellules tumorales ou infectées, exprimant de façon anormale des molécules MHC de classe I.